Sa " carrière " dans L'Education Nationale
Dans le pays pour lequel elle a prit fait et cause, elle aurait pu être reconnue pour ses bons et loyaux services et avoir comme d'autres, des rues à son nom. Elle préféra rentrer dans celui qu'elle a trahit, pour y couler des jours heureux en profitant d'une sécurité professionnelle et ainsi poursuivre son œuvre de destruction qui touchait non plus les corps, mais les esprits.

L'état français lui attribua un poste de Maître de conférences à l'université de Toulouse II le Mirail (en reconnaissance des services rendus sans doute), où elle enseigna à nos futurs historiens entre autres, "L'Histoire de la décolonisation", Nous pouvons être assurés qu'ils bénéficièrent avec elle d'une bonne…. Désinformation.

Elle exerçait à l'université Toulouse Mirail. Poste 4101, bureau 215, boite à lettre N° 8 " Maitrise de l'histoire contemporaine " Travaux dirigés " Le 24/02/98 Le mardi de 8 h 30 à 10 h 30 et de 13 h30 à 15 h 30 salle 100 en binôme avec A.F " les femmes dans l'histoire, la société, la culture " Le mardi de 15 h 30 à 17 h 30, En binôme avec S.E salle H 013 " l'histoire de l'Afrique Noire et du Nord. "

Par décision en date du 22 février 2002 elle est admise sur la liste de qualification aux fonctions de professeur des universités arrêtée en 2002 par les sections du Conseil national des universités. http://admi.net/jo/20020630/MENP0201316K.html
Elle fut titularisée Par décret du Président de la République en date du 11 décembre 2002 : Sont nommées et titularisées en qualité de professeur des universités (disciplines littéraires et de sciences humaines), à compter du 1er septembre 2002. 22e section : histoire et civilisations : histoire des mondes modernes, histoire du monde contemporain ; de l'art ; de la musique http://www.admi.net/jo/20021218/MENP0202831D.html

Jusqu'à 2002 elle n'était donc pas enseignante mais en charge d'enseignement. Régime généralement réservé à des étudiants préparant une thèse et qui ne peut excéder trois ans. Elle aurait postulé avec une militante féministe à un poste concernant " la condition de la femme " dont la titulaire était décédée. Sa discrétion l'aurait fait élire et a ainsi permis l'élimination de sa concurrente bien plus " voyante ".
Toujours est-il que chargée d'enseignement, elle animait avec A.F le groupe " Simone ", groupe culturel de femmes (style MLF tendance extrême gauche) ayant pour thème :" Les problèmes des femmes " et donnait des conférences salle Sénéchal à Toulouse
Elle occupait sans être professeur, un poste d'enseignement. Un emploi dit d'A.T.E.R qui en principe ne peut excéder 3 ans et est réservé généralement à des jeunes qui préparent une thèse.

Le professeur Argeron, élève de Charles André Julien, et qui fut au PCF et proche du FLN, a refusé de faire partie du Jury de thèse de D.Minne (Les femmes algériennes et la guerre de libération nationale 1954-1962 (Thèse de doctorat d'état 1988 ) car un de ses amis est mort à l'Otomatic.

Elle jouirait actuellement d'une retraite d'agrégée, titre acquis par " ancienneté " mais qui nous permet de vérifier que notre argent est bien employé et que les impôts versés par ses victimes survivantes lui permettront une retraite dorée.

Qu'en disent les contribuables ? Rien. Ils ne savent pas puisque ceux censés les informer n'osent pas… On a les collabos qu'on peut …
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